Cette série vous invite au voyage : Venise, Dubrovnik, Tokyo, Paris, Florence, Lyon, Rome, Naples, Singapour ou encore Hoi-An et Bruxelles.
Jean-Pierre Sepchat utilise la photographie pour peindre l’ambiance de ces villes, le plus souvent à la nuit tombée dans le bouillonnement des lumières artificielles. Les images s’imbriquent, se superposent ou se dédoublent dans une frénésie qui s’inspire des tableaux de Brueghel et de ceux des Impressionnistes. Les photos vibrent au rythme de l’homme, présent ou suggéré, qui reste au cœur de ce dialogue.
Jean-Pierre Sepchat utilise la photographie pour peindre l’ambiance de ces villes, le plus souvent à la nuit tombée dans le bouillonnement des lumières artificielles. Les images s’imbriquent, se superposent ou se dédoublent dans une frénésie qui s’inspire des tableaux de Brueghel et de ceux des Impressionnistes. Les photos vibrent au rythme de l’homme, présent ou suggéré, qui reste au cœur de ce dialogue.
Photos réalisées à partir d’éléments provenant de friches industrielles. Ces sites abandonnés, éphémères, destinés à la démolition restent riches en objets oubliés. Au-delà de ces laissés pour compte, Jean-Pierre Sepchat donne une seconde vie à ces vestiges, et vous invite ainsi dans son univers onirique grâce à un travail sur l’éclairage et la lumière.
Le suicide, évoqué comme un choix délibéré et murement réfléchi, aux antipodes du fait divers. Décision ultime mais complètement assumée, dont il ne restera… rien. ! L’angoisse, les problèmes, la peur restent intérieurs, et sont juste traduits par l’ambiance volontairement sombre, le choix du Noir et Blanc et son traitement poussé, le titre « Au bout de la nuit ». Elle hésite peut-être encore… seul le modèle peut être flou. Un décor vide, une absence, juste le témoignage d’un éventuel passage à l’acte. Dans ses diptyques, Jean-Pierre Sepchat laisse au spectateur le choix de l’issue : refus ou fin…
Les photos sont réalisées avec la technique du light painting.
Les photos sont réalisées avec la technique du light painting.